mardi 19 novembre 2013

Andy Wahrol esquisse la danse de Saint Guy!

La danse comme thématique chez Warhol: à découvrir!!!
Et  en 1937 il est alors atteint de la maladie de la danse de Saint Guy. Souvent alité durant sa maladie, il est mal-aimé dans son école, et passe la majorité de son temps avec sa mère avec qui il tisse un lien très fort. Lorsqu'il est confiné à son lit, Andrew dessine, écoute la radio et collectionne des photos de stars de cinéma. Plus tard, Warhol décrira cette période comme très importante dans son développement personnel et celui de ses goûts. En 1942, Andrew, qui a alors 14 ans, perd son père après trois ans de maladie. Il termine sa scolarité en 1945 avec la remise du diplôme du lycée.Incroyable!!!!



Ill. : Andy Warhol, Alexandra Danilova, 1952, encre sur papier manila, 42,2 x 35,2 cm, Courtesy Andy Warhol Foundation for the Visual Arts et galerie Thaddaeus Ropac, Paris/Salzburg

S’il y a encore une facette de Warhol à découvrir, c’est l’univers fascinant de ses dessins. En collaboration avec l’Andy Warhol Foundation for the Visual Arts, la galerie Ropac a dévoilé un ensemble d’esquisses sur la danse datant du début des années 1950, jamais montrées de son vivant.

Warhol venait alors d'arriver à New York et s'intéressait de près au monde de la danse, dessinant inlassablement chorégraphes et danseurs, du ballet classique à la danse moderne ou exotique. Saisissant la personnalité de chacun avec une extraordinaire acuité, ces « portraits psychologiques » vifs et épurés, tracés d'une main libre à l'encre sur papier manila sont d'une virtuosité impressionnante (de 15 000 EUR à 35 000 EUR). Exercices de style spontanés, ils ont probablement été réalisés d'après des photographies de revues comme le Dance Magazine et évoquent des personnalités tels John Butler, « top of the list » pour sa beauté d'éphèbe, Jacques d'Amboise, Nala Najan, adepte de danse indienne, la ballerine russe Alexandra Danilova ou des danseuses cambodgiennes. Il y a le brio d'un Matisse dans la justesse d'évocation de ces dessins si intuitifs.

Danse des Abeilles, danse dite "frétillante"!

Dansent-elles vraiment quand elles ont bu de l'hydromel?
Les animaux "dansent" ils où font-ils plutôt des parades amoureuses, des signes, des figures imposées par l'instinct ou la détermination? Vaste sujet!!!
La danse des abeilles est un terme utilisé en apiculture et en éthologie pour désigner un système de communication animale par lequel des abeilles butineuses ou exploratrices (en moyenne 5 à 25 % des butineuses qui sont les plus âgées, les plus expérimentées, les autres étant des réceptrices attendant le signal de l'éclaireuse) transmettent aux réceptrices restées dans la colonie la distance et la direction de la source de nourriture où elles peuvent obtenir le nectar et le pollen des fleurs nécessaires à la production de miel. Au cours de ces danses, elles émettent avec les ailes un son particulier et transmettent l'odeur du nectar dont elles veulent communiquer leur position. Les réceptrices restent en contact avec la danseuse. Ces danses exécutées sur les rayons d'alvéoles sont d'autant plus vives, et de longue durée, que le nectar est abondant et riche en sucre, renseignant également sur les plantes qui cessent d'être productives et sur celles qui le deviennent. Alertées, les abeilles jusque-là inactives s'envolent à la recherche de cette nourriture. Grâce à ces mécanismes de communication, les colonies peuvent s'adapter et localiser efficacement les sources de nourriture disponibles.
C'est à l'éthologue autrichien Karl von Frisch (1886 - 1982), dans son ouvrage Vie et mœurs des abeilles, que l'on doit la description de ce qu'il nomme « langage des abeilles » et la compréhension des « danses » des abeilles. Ces découvertes de Karl von Frisch poursuivies par son élève Martin Lindauer ont pu être confirmées en 1986, à l'aide d'un robot miniature capable d'exécuter cette danse des abeilles.

lundi 18 novembre 2013

Wolberger: l'effet Papillon ou Sylphide!!!! Black Papillon est né de sa chrysalide!

Pour mieux papillonner et faire tournoyer en dansant sa coiffe alsacienne, voici une bonne recette.
Pour mieux s'envoler, faire sa sylphide affublée d'ailes magiques, être en apesanteur et plein d'ivresse!
Toujours dans l'allégresse et la légèreté donc!
La Maison Wolfberger, célèbre pour ses bulles si prometteuses (voir la gamme de Crémants d'Alsace : cuvée "Prestige", "Pineau gris", "Vielles vignes", bio...rosé etc...) vient de sortir une édition spéciale "Black Papillon" assemblage secret de cépages (on soupçonne du pinot gris, du muscat et un inconnu dissimulé)
C'est festif, long en bouche et cela résonne au palais de façon étonnante!
L'étiquette en dit long sur les ambitions du designer: un cerf, auréolé d'une coiffe alsacienne semble bramer de plaisir!!!


Un autre cerf, celui du photographe Charles Fréger, ethnologue plasticien de l'image, bientôt exposé à La Chambre à Strasbourg!!! Berger d'un bestiaire humain fabuleux!
Qui a peur du grand méchant cerf??? (ou Loup!) Le "wolf", tant séduisant par ses fragrances bachiques exceptionnelles!
www.la-chambre.org

www.wolfberger.com