Et pour mémoire pour les ballets russes en 1920 Léonide Massine danse et chorégraphie "Polichinelle" dans des décors de Picasso!
samedi 11 octobre 2014
Les bancs spaghetti de Pablo Reinoso: états de sièges!
Il expose actuellement des bijoux en or à la galerie Minimasterpiece, 16 rue des saints pères à Paris avec Claude Lévêque, des sculptures à porter!
Mais c'est l'inventeur du banc spaghetti!!!!
Amas de chaises pour Pina Bausch ou Ionesco!
Pour les mal-assis et tous les danseurs, designers dans l'âme!
Mais c'est l'inventeur du banc spaghetti!!!!
Amas de chaises pour Pina Bausch ou Ionesco!
Très anatomique et anthropomorphique!!!!
Pour les mal-assis et tous les danseurs, designers dans l'âme!
vendredi 10 octobre 2014
"Le garçon et le monde": l'animation dépouillée, mouvementée!
Un film d'animation brésilien de Alé Abreu, muet de 2013, discret, tenu,tendu comme un fil.
Papiers découpés, peinture, effets kaleidoscopiques comme une explosition graphique extraordinaire
Ca bouge fort bien!
Cela commence avec deux coups de crayon, et trois notes de musique. Un petit garçon : deux traits noirs (les yeux), deux pastilles roses (les pommettes) dans un visage tout blanc, tout rond. Un air de flûte tout simple, signature d’un papa monté dans un grand train et parti loin, sans que le petit garçon comprenne bien. Trois fois rien. Mais à l’arrivée, quel voyage ! Entre les premiers traits de crayon et les dernières notes de musique, le petit garçon est parti découvrir le monde, et peut-être retrouver son père.
Et le monde s’est déployé, pour lui et pour nous, avec une poésie, un relief et une vigueur que l’on a rarement l’occasion de voir, même dans le cinéma d’animation.
La grammaire visuelle d’Alê Abreu est simple. Les mondes que l’on découvre vont toujours par deux : chaque Eden a son envers. La campagne familiale est un cadre magique et très graphique!...
Papiers découpés, peinture, effets kaleidoscopiques comme une explosition graphique extraordinaire
Ca bouge fort bien!
Cela commence avec deux coups de crayon, et trois notes de musique. Un petit garçon : deux traits noirs (les yeux), deux pastilles roses (les pommettes) dans un visage tout blanc, tout rond. Un air de flûte tout simple, signature d’un papa monté dans un grand train et parti loin, sans que le petit garçon comprenne bien. Trois fois rien. Mais à l’arrivée, quel voyage ! Entre les premiers traits de crayon et les dernières notes de musique, le petit garçon est parti découvrir le monde, et peut-être retrouver son père.
Et le monde s’est déployé, pour lui et pour nous, avec une poésie, un relief et une vigueur que l’on a rarement l’occasion de voir, même dans le cinéma d’animation.
La grammaire visuelle d’Alê Abreu est simple. Les mondes que l’on découvre vont toujours par deux : chaque Eden a son envers. La campagne familiale est un cadre magique et très graphique!...
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