Hommage à Frédérico Fellini, la création "jeune public" de José Montalvo va encore enchanter petits et grands!Huit et demi ou Vingt sur vingt pour notre artiste fantaisiste qui conte ici, chorégraphiquement parlant la légende Fellini!
On connaît l’art de José Montalvo, artiste permanent du Théâtre National
de Chaillot, pour entremêler savamment la réalité et l’illusion. On ne
s’étonnera pas de le retrouver en bonne place dans cette Belle saison
avec l’enfance et la jeunesse, manifestation initiée par le ministère de
la Culture et de la Communication pour faire découvrir les richesses de
la création contemporaine aux publics les plus jeunes. Le chorégraphe a
donc voulu créer une pièce où l’on puisse « chanter, danser parfois,
rire souvent ». Puisant dans les contes, terrain privilégié du
merveilleux, le magicien Montalvo compose un ensemble virtuose de vingt
récits chorégraphiques miniatures, dont le point commun est de mettre en
scène des animaux et des humains. Les premiers, virtuels, à l’image de
ce bestiaire créé depuis trente ans par le magicien Montalvo dans les
vidéos de ses spectacles, les seconds, bien réels, incarnés sur scène
par les danseurs de sa compagnie.
Faisant comme à son habitude dialoguer
tous les styles de danse, le chorégraphe tricote une joyeuse féerie où
l’usage des technologies numériques soutient l’imaginaire. Tour à tour
cruelles ou mystérieuses, inquiétantes ou loufoques, les vingt séquences
tressent une construction rigoureuse dont le point de départ est
l’énigmatique « Asa Nisi Masa ».
Cette formule magique, qui dans le film
de Fellini Huit et demi permet au héros de replonger dans son enfance, est la version moderne de l’éternel « Il était une fois ». / Isabelle Calabre
Du 9 octobre au 7 Novembre au TNChaillot à Paris
www.theatre-chaillot.fr
lundi 20 octobre 2014
Alexander Vantournhout: "Aneckxander":contorsions, acrobaties, danse.... nu!
Une scène vide. Alexander/Aneckxander parcourt l'espace, passant et
repassant les lois de sa solitude assumée. Un corps nu exécute des
acrobaties, décelant ses disproportions physiques. À travers des actions
sans but apparent avec des objets apparemment quelconques, se dessine
le portrait tragique d'un être humain.
Présentation d'une étape de travail - gratuit sur réservation
Une scène. Alexander / Aneckxander erre, répétant les règles absurdes de la solitude qu’il s’impose à lui-même. Nu, il effectue des acrobaties et ses disproportions physiques sont ainsi révélées. Engagé dans des actions qui semblent sans but, pourvu d’étranges objets, un être humain tragique prend vie.
Alexander s’initie à 12 ans à l’univers du cirque en commençant par le jonglage. C’est plus tard qu’il découvre la roue allemande, que toutefois il abandonne rapidement en faveur de la roue Cyr. Cette dernière discipline, encore peu exploré, offre à Alexander la liberté d’innover et d’élaborer son propre style. En 2007 il crée son premier spectacle sous forme de solo et intègre l’Ecole Supérieure des Arts du Cirque (ESAC) à Bruxelles, où il passera trois ans. Durant ces années, il se perfectionne en roue et en jonglage et découvre, parallèlement, le théâtre, la danse et l’acrobatie. Aussitôt sorti de l’ESAC, Alexander entre à l’école bruxelloise de la chorégraphe Anne Teresa De Keersmaeker, PARTS (Performing Arts Research and Training Studios) où il suit le cursus du premier cycle et perfectionne son approche de la danse contemporaine et des arts performatifs qui viennent compléter sa formation d’artiste. Indépendamment de tout système scolaire, il est invité à enseigner la roue Cyr et à jouer ses créations en Europe.
Une scène. Alexander / Aneckxander erre, répétant les règles absurdes de la solitude qu’il s’impose à lui-même. Nu, il effectue des acrobaties et ses disproportions physiques sont ainsi révélées. Engagé dans des actions qui semblent sans but, pourvu d’étranges objets, un être humain tragique prend vie.
Alexander Vantournhout est lauréat Circus Next 2014, un dispositif dont le but est de découvrir, d’accompagner et de soutenir les nouvelles générations d’auteurs de cirque.
Présentation d'une étape de travail - gratuit sur réservation
Une scène. Alexander / Aneckxander erre, répétant les règles absurdes de la solitude qu’il s’impose à lui-même. Nu, il effectue des acrobaties et ses disproportions physiques sont ainsi révélées. Engagé dans des actions qui semblent sans but, pourvu d’étranges objets, un être humain tragique prend vie.
Alexander s’initie à 12 ans à l’univers du cirque en commençant par le jonglage. C’est plus tard qu’il découvre la roue allemande, que toutefois il abandonne rapidement en faveur de la roue Cyr. Cette dernière discipline, encore peu exploré, offre à Alexander la liberté d’innover et d’élaborer son propre style. En 2007 il crée son premier spectacle sous forme de solo et intègre l’Ecole Supérieure des Arts du Cirque (ESAC) à Bruxelles, où il passera trois ans. Durant ces années, il se perfectionne en roue et en jonglage et découvre, parallèlement, le théâtre, la danse et l’acrobatie. Aussitôt sorti de l’ESAC, Alexander entre à l’école bruxelloise de la chorégraphe Anne Teresa De Keersmaeker, PARTS (Performing Arts Research and Training Studios) où il suit le cursus du premier cycle et perfectionne son approche de la danse contemporaine et des arts performatifs qui viennent compléter sa formation d’artiste. Indépendamment de tout système scolaire, il est invité à enseigner la roue Cyr et à jouer ses créations en Europe.
Une scène. Alexander / Aneckxander erre, répétant les règles absurdes de la solitude qu’il s’impose à lui-même. Nu, il effectue des acrobaties et ses disproportions physiques sont ainsi révélées. Engagé dans des actions qui semblent sans but, pourvu d’étranges objets, un être humain tragique prend vie.
Alexander Vantournhout est lauréat Circus Next 2014, un dispositif dont le but est de découvrir, d’accompagner et de soutenir les nouvelles générations d’auteurs de cirque.
- Durée : 30 minutes environ, puis discussion
- Tout public à partir de 16 ans
- Entrée libre sur réservation : 09 50 88 09 50 – billetterie@lesmigrateurs.eu
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