vendredi 6 octobre 2017

"Danser" de Astrid Eliard


Chine, Delphine et Stéphane ont une passion commune : la danse. Sans elle, ils ne se seraient sans doute jamais rencontrés. Milieux sociaux, origines géographiques, motivations, histoires familiales, tout les opposait. À l'École de danse de l'Opéra, ils vont cohabiter, se détester, se jauger, s'aider ? La danse est exigeante. Chine, Delphine et Stéphane iront-ils au bout de leurs rêves ?
Avec beaucoup d'humour et de tendresse, Astrid Éliard nous entraîne dans le monde des petits rats de l'Opéra, un monde à part, où l'on vit en musique, en tutu et chignon pour les filles, en collant pour les garçons. Mais derrière cet uniforme, on découvre des adolescents comme les autres, préoccupés par les questions de leur âge et de leur époque. Leurs corps sont en train de devenir des objets de désir. Il leur faudra donc vivre ce changement, assumer le trouble des premiers émois amoureux, et concilier l'idéal de perfection avec la trivialité du réel ?

"Et maintenant je vole" de Michaela Deprince


L'espoir, Michaela DePrince ne l'a jamais perdu. De son orphelinat en Sierra Leone à sa vie de danseuse à New York, Michaela a toujours cru en son destin. Après avoir perdu ses parents et fui la violence qui faisait rage dans son pays, la petite pikin, âgée de 4 ans et atteinte de vitiligo, se fait adopter par une famille américaine. Mais sa nouvelle vie n'est pas un long fleuve tranquille. L'apprentie danseuse va devoir redoubler d'efforts pour surmonter les obstacles qui l'empêchent d'atteindre son rêve de toujours : devenir ballerine. " Un très beau témoignage plein de force et d'espérance. " Le Dauphiné libéré " Un véritable monument à la vie, à l'espoir. " 

"Accords intimes, danse et musique chez A.T.De Keersmaeker par Philippe Guisgand




La chorégraphe flamande Anne Teresa de Keersmaeker a toujours tenu à distance l'idée selon laquelle, en danse contemporaine, musique et chorégraphie étaient indépendantes. Elle a noué, tout au long de sa déjà longue carrière artistique, de savants échanges avec l’art musical que ce livre tente de mettre en évidence. Ainsi, l’auteur a voulu donner une suite à son ouvrage Les Fils d’un entrelacs sans fin(Presses universitaires du Septentrion, 2008) qui proposait une approche esthétique de la danse dans l’œuvre de Keersmaeker entre 1982 et 2005. Le présent volume prend la forme d’un essai qui rend compte des pièces les plus récentes (2005-2015) et re-périodise l’ensemble de son travail sous un angle que le premier livre avait un peu délaissé, à savoir les figures du dialogue entre danse et musique.