Dans le Paris de la Belle Époque, en compagnie d’un jeune livreur en triporteur, la petite kanake Dilili mène une enquête sur des enlèvements mystérieux de fillettes. Elle rencontre des hommes et des femmes extraordinaires, qui lui donnent des indices. Elle découvre sous terre des méchants très particuliers, les Mâles-Maîtres. Les deux amis lutteront avec entrain pour une vie active dans la lumière et le vivre-ensemble…
samedi 13 octobre 2018
"Dilili à Paris" danse aussi !
Dans le Paris de la Belle Époque, en compagnie d’un jeune livreur en triporteur, la petite kanake Dilili mène une enquête sur des enlèvements mystérieux de fillettes. Elle rencontre des hommes et des femmes extraordinaires, qui lui donnent des indices. Elle découvre sous terre des méchants très particuliers, les Mâles-Maîtres. Les deux amis lutteront avec entrain pour une vie active dans la lumière et le vivre-ensemble…
vendredi 12 octobre 2018
"Rosas" 2007 / 2017
Anne Teresa De Keersmaeker (°1960) a fondé la compagnie de danse Rosas en 1983. Son travail chorégraphique explore inlassablement les liens entre danse et musique, et s’affronte aux structures musicales et aux partitions de toutes les époques, de la musique ancienne à la musique contemporaine en passant par les expressions populaires. Sa pratique puise en outre dans les principes formels de la géométrie, de l’étude des phénomènes naturels et des structures sociales, ouvrant de singulières perspectives sur le déploiement du corps dans l’espace et le temps.
Le minimalisme de ses débuts, nourri de complexité musicale, a peu à peu cédé la place à de flamboyantes constructions pour grands ensembles dansés. En 2007, le travail de la chorégraphe prend cependant un tour nouveau : un « minimalisme second », qui ne revient sur son lieu de départ qu’à une place inattendue. Dépouillement et grand air, simplicité et valorisation énergétique des gestes élémentaires – la marche, le souffle, le parler – reconfigurent la dynamique du simple et du complexe et relancent son écriture.
Les photographes Anne Van Aerschot et Herman Sorgeloos ont été les témoins privilégiés de ce processus. À travers leurs images, réunies dans un seul et même ouvrage pour la première fois depuis dix ans, ils délivrent un regard d’une acuité exceptionnelle sur cette dernière décennie de l’aventure Rosas.
"Girl": Sidi Larbi Cherkaoui quelque part dans le film, comme un auto portrait !
Où se cache le chorégraphe dans ce film hallucinant sur l'univers de la danse classique,où rigueur, discipline, acharnement, douleur et souffrance tissent une tension insupportable...Loin de la danse de Sidi Larbi, mais on peut le soupçonner d'avoir co-dirigé les évolutions, l'énergie et toutes les facettes de l'exercice classique, ici transfigurées part le fait que c'est un corps d'homme plus rigide qui exécute les figures emblématiques: manèges infernaux, sauts de biches et autres détirés et écarts faciaux invraisemblables pour un homme !
Une part d'autoportrait aussi pour cet artiste franco-maroco-belge, musulman, homosexuel qui a du se frotter à l'homophobie et l'intolérance: sa danse acrobatique et contorsionniste n'est-elle pas aussi exigeante, monstrueuse et hors norme?i
Le film de Lukas Dhont avec Victor Polster en Lara est insoutenable, très violent psychologiquement et les scènes "sanitaires" où le héros mutile, asphyxie son corps, le rend "plat" et insipide, asexué n'est pas l'âme et l'essence de la danse!
Sidi a du souffrir, lui aussi pour rendre si authentique, si sensitif, cet univers de contraintes assumées, ses choix de dressage du corps à l'inverse de sa pratique
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| phallic girl yayoi Kusama |
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