dimanche 27 janvier 2019

"Je me plante, verte" récital botanique de Geneviève Charras (voix) et Christian Vidal (piano)




"Je me plante, verte!" et j'en perd ma culture ! (permaculture)

Récital de Geneviève Charras et Christian Vidal, voix et piano
Environnement scénographique: Corine Kleck et Véronique Moser

Salle Simone Veil
CIARUS
7 rue Finckmatt
67000 STRASBOURG

Le Dimanche 28 Avril 2019
11H
Entrée libre
plateau


Je suis une belle plante, je poirote sur la plante des pieds.....Mais à quoi ça "serre" ?

Un récital champêtre, bucolique, horticole où l'on joue à cache cache avec un éléphant égaré au jardin des plantes, au bois gentil, joli.
Une déesse des fleurs, Chloris, éperdue dans un jardin mouillé où les noisetiers donnent des oiseaux qui pleurent. Où les serres s'échauffent et s'ennuient sous la lune .
Où les cactus envahissent nos vie !
Un cyclamen qui chante de toute Savoie, échappé d'un catalogue de fleurs, promises à la Saint Amand ! Un mime osa sur la route du midi.....
De la ciboulette pour pimenter les amourettes et les omelettes à la Follembuche
Du gazon charmant pour fouler sur la plante des pieds, les herbes du paradis!


Un florilège de mélodies, pas si flores!
On ne vous laissera pas en plan
Un récital , pour en pousser une, en tablier de belle jardinière, de plein pied sur les plates- bandes d'un herbier , plein champ! Pour cultiver son jardin à la Candide !
Le "bon plan" !

Avec Dutronc, Barbara, César Franck, Erik Satie, Reynaldo Hahn, Darius Milhaud, Francis Poulenc, Manuel Rosenthal, Albert Roussel, Jean Wiener, Léo Delibes, Ernest Chausson



Apér'opéra floral en bocal, à l'issue du concert

Entrée libre
Plateau

Michel Legrand danse !





samedi 26 janvier 2019

"Danser dans la France des lumières" de Sylvie GRANGER

Un mystérieux carnet… nous lance sur la piste d’un maître à danser entreprenant des années 1760, de Mademoiselle sa fille et de leur entourage. À partir de la place du Martroy au c½ur d’Orléans, l’enquête s’élargit à la sociabilité urbaine au temps des Lumières. Décentrant résolument le regard, elle éclaire d’un jour nouveau diverses villes du royaume. On découvre les réalités concrètes du métier de maître à danser, installé ou réclamé jusque dans les petites villes. On mesure la place occupée par la danse récréative : loisir, plaisir, passion, elle est aussi objet d’ostentation, conquis grâce aux leçons et à l’imitation. Elle devient signe d’un accès à la mode, mieux, à la modernité. Menuets et contredanses, leçons de danse et bals publics constituent une médiation originale vers l’histoire urbaine du XVIIIe siècle. Pour décrypter ses hiérarchies et ses aspirations, à travers les comportements culturels et les mécanismes de leur transmission, la circulation et la diffusion des modes, la propagation et l’appropriation des critères de distinction.