Sur un texte de Claude Henri Buffard, voici la vie et les aventures amoureuses d'Olivia et de Rafael, contées sur fonds de danse, d'unisson à corps perdus. C'est beau et émouvant de voir la chanteuse se fondre dans le groupe, quasi identique aux autres danseurs, tant sa technique est pointue, agile, naturelle: une femme qui danse et chante: quelle performance et quel naturel !
Danseuse de toute sa peau, de toute sa voix, la voici sur la bonne voie, celle qu fait transpirer les corps, s'émouvoir les gestes entre de bonnes mains : celle d'un Gallotta galvanisé par la musique, les paroles et la trame narrative d'un spectacle en forme de douce et tendre comédie musicale sans fards, ni paillettes, ni strass, ni décors clinquants; "retour aux sources" de la danse pour Olivia, retour à des amours de musique plus légères pour Jean Claude et le tour est joué!
Amour sorcier entre les protagonistes pour un show sans histoire, qui s'écoule joyeusement
Elle danse, puis dans un instant de grâce absolu, son corps se "tait" pour interpréter "j'traine des pieds" où la femme Chocolat est doublée par un duo de danseurs magnétiques!
Au Théâtre National de la Danse à Paris du 6 au 21 Octobre
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