Tim Burton, le magicien d'Oz, illustrateur, peintre, décorateur de génie et talentueux metteur en scène de cinéma transfigure Johnny Depp en vampire magnétique, raide comme un balai, acteur extraordinaire et méconnaissable.Tous sont dirigés de main de maître et corporellement, les personnages sont idéalement parfaitement campés. La sorcière est démoniaque et l'on assiste à une fulgurante prise érotique entre elle et son vampire qu'elle convoite désespérement. Un combat hallucinant, en plein vol, plein d'effets et de trucages qui confèrent à l'événement un caractèrte chorégraphique digne de Edouard Lock ou Wim Vandekeybus: fulgurant moment de cinéma et d'artifice, d'apesanteur et de légèreté.
Quand au "balloche", bal mondain organisé par la famille de Barnabas Collins, voici un bref aperçu du faste du décor dans lequel se joue toute l'intrigue.Une merveille d'humour aussi et de détachement dans l'irréel et la fantaisie la plus totale.
Courrez voir ce Barnabas au pays des merveilles....
samedi 12 mai 2012
vendredi 11 mai 2012
"Wallis & Edouard": le film chorégraphique de Madonna
Londres, décembre 1936. Pour pouvoir épouser
l’Américaine Wallis Simpson, déjà deux fois divorcée, le Roi Edouard
VIII est contraint d’abdiquer, quelques mois seulement après le début de
son règne. New-York, février 1998. Malheureuse dans son mariage, Wally
Winthrop passe ses journées à l’exposition qui précède la vente aux
enchères, chez Sotheby’s, des objets ayant apartenus au Duc et à la
Duchesse de Windsor. Wally découvre alors peu à peu ce qu’a été la vie
de Wallis.
L'écriture du film est très chorégraphique, les va et vient du passé au présent balayent l'écran sans cesse dans une obsédante détermination. Les scènes de bal et de rencontre sont des "prises" de vue et de corps très charnelles et la séquence où la jeune héroïne se fait violenter, comme une chute stylisée digne des chorégraphes réalisateurs Obadia-Bouvier. Belle réussite très romantique...
L'écriture du film est très chorégraphique, les va et vient du passé au présent balayent l'écran sans cesse dans une obsédante détermination. Les scènes de bal et de rencontre sont des "prises" de vue et de corps très charnelles et la séquence où la jeune héroïne se fait violenter, comme une chute stylisée digne des chorégraphes réalisateurs Obadia-Bouvier. Belle réussite très romantique...
"StreetDance 2": salsa street dance!
Quand Sofia Boutella élaire la scène, le film brille d'une intense force et d'un troublant érotisme à la "street salsa"...Un nouveau genre de danse que le petit groupe de performeurs, réunis sous la houlette de Falk Hentschel, le chef de bande de la street dance inaugure lors de battle. Un défi esthétique et éthique qui va révolutionner un monde à priori fermé à la nouveauté mais qui bientôt ouvre ses horizons à d'autres styles de danse de rue. Une belle démonstration d'humanisme et d'intelligence métissée!
Un film de Max Giva et Dania Pasquini. La chorégraphie est virtuose, l'exécution remarquable et les performances des daseurs, accentuées par un montage du tonnerre qui stimule un scénario, hélas bien pauvre.Un show façon Broadway qui se suit sans ennui avec pour cible la merveilleuse actrice-danseuse Sofia Boutella qui rivalise de charme, de dynamisme et de sensualité.
Un film de Max Giva et Dania Pasquini. La chorégraphie est virtuose, l'exécution remarquable et les performances des daseurs, accentuées par un montage du tonnerre qui stimule un scénario, hélas bien pauvre.Un show façon Broadway qui se suit sans ennui avec pour cible la merveilleuse actrice-danseuse Sofia Boutella qui rivalise de charme, de dynamisme et de sensualité.
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