Faire la lumière sur la danse: des éclairs de génie !
Un danseur et son clone évoluent dans un univers hallucinatoire.
Etienne Rochefort et Jérôme Douablin naviguent entre lumières, couleurs, sons et musiques pour faire émerger des métamorphoses physiques qui rappellent les personnages de bande dessinée ou de jeu vidéo. Les contrastes dessinent un personnage animé, capable d'apparaître, de disparaître mais aussi de se dédoubler. Les postures, les gestes, les mouvements tiennent du film d’animation japonais.
A propos de
Un danseur et son clone évoluent dans un univers hallucinatoire.
Etienne Rochefort et Jérôme Douablin naviguent entre lumières, couleurs, sons et musiques pour faire émerger des métamorphoses physiques qui rappellent les personnages de bande dessinée ou de jeu vidéo. Les contrastes dessinent un personnage animé, capable d'apparaître, de disparaître mais aussi de se dédoubler. Les postures, les gestes, les mouvements tiennent du film d’animation japonais.
A propos de
"Non, ce n’est pas Desdémone mais 2#Damon, une entité à double visage, presqu’un personnage. Le premier duo d’Etienne Rochefort et Jérôme Douablin prend corps entre lumières, couleurs, sons et musiques. De ces textures naissent d’étranges métamorphoses et les deux complices semblent tout droit sortis d’une bande dessinée, d’un manga ou d’un jeu vidéo. Une première pièce manifeste où se découvre un univers irréel et fascinant.
Curieux d’une matière gestuelle issue de la danse hip-hop – smurf, pop ou stroboscope notamment – Etienne Rochefort et Jérôme Douablin sont entrés en recherche et ont chorégraphié leur premier duo entre gestes et lumières. Une façon d’opérer d’étonnantes transformations physiques et musicales en jouant sur les effets optiques. Sans narration particulière, leur spectacle se déploie comme une séquence de tableaux ou un story-board. Dans chaque cadre, un climat, un univers particulier. Et des apparitions surprenantes : un personnage et son double enquêtent sur leur identité. Les postures, les gestes, les mouvements tiennent du film d’animation japonais. Le trait est fort, l’expression intense et le mystère bien gardé. Il renvoie à toute une génération qui a grandi dans l’univers des mangas et des jeux vidéos, restant proche de ses héros et de leurs épreuves. Comme extraits de l’aplat de l’image, les corps quittent l’espace virtuel pour prendre vie sur scène."
A Pôle Sud le 1 Mars à 20H 30
A Pôle Sud le 1 Mars à 20H 30
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