Maria Ramirez, 17 ans, talentueuse danseuse, sortie d'un centre de détention pour jeunes organise une compagnie de danse hip-hop digne de ses ambitions....Contre une partie adversaire, les 718 dont son ex-amant qui l'a envoyée en prison....
.Le réalisateur Bille Woodroff, le même que pour "Honey", le film de 2003 avec Jessica Alba dans le rôle de Honey Daniels, se complait dans une écriture scénaristique très traditionnelle.C'est propre et bien fait ave un peu trop de "ralentis" ou arrêt sur image pour imprimer dans le temps la virtuosité des figures.C'est Katerina Graham qui incarne l'héroïne sauvage, agressive, pugnace en diable, chorégraphe et chef de bande audacieuse qui doit prouver au monde qu'elle existe.Un concours de crew vient remettre un peu de piment dans le scénario et la danse reprend de plus belle. On assiste à d'excellentes prestations de danse pour le show TV et cela est un vrai régal!On finira cependant par haïr l'esprit de compétition tant la tension est grande (et longue)!
Sinon tout se passe à Los Angeles, dans un studio de danse plutôt superbe!!!
Les danseurs de la bande à Maria sont soudés, compères et seule l'une d'entre eux va se faire momentanément récupérer par la bande adverse!!! Quelques histoires d'amour font aussi avancer la donne, toujours en danse!
Le plus drôle est la tournée géographique en ville que le jeune étudiant BCBG en danse et sciences économiques simultanément,fait faire à notre héroïne: un tour de tous les styles de danse, selon les quartiers, les topos!On fait du hip-hop dans les passages souterrains, du tango près des fontaines, du classique au ballet en studio!!! Allez, que le meilleur gagne la gloire!!!
vendredi 22 juillet 2011
Lucian Freud et Leigh Bowery: l'atelier du peintre est clos!
Le Centre Georges Pompidou en 2010 lui consacrait une grande rétrospective: il meurt aujourd'hui et retenons de son œuvre dans ses "Ateliers" les portraits du danseur performeur londonien Leigh Bowery et son amie Big Sue en 1992 1993 et 1994. L'icône de la scène destroye, avec ses atours et costumes délirants posait paisiblement et conférait à ses portraits une dimension hasardeuse, curieuse, trouble et étrange....Nu, allongé langoureusement sur un amas de draps froissés ou dans un fauteuil rouge sur parquet gris, la jambe relevée impudiquement: très "voyeur", voyou, la masse corporelle irradiant la toile, occupant tout l'espace par la force du trait.Debout aussi, en portrait et photographié in situ dans l'atelier de Freud par Bruce Bernard!
voir les ouvrages:
"Bowery" The Art and (larger than) Life of Leigh Bowery catalogue par Elisabeth Ann Macgreg 1994 Sydney
Leigh Bowery "beautified provocation" de René Zechlin Herausgeber éditor 1994
voir les ouvrages:
"Bowery" The Art and (larger than) Life of Leigh Bowery catalogue par Elisabeth Ann Macgreg 1994 Sydney
Leigh Bowery "beautified provocation" de René Zechlin Herausgeber éditor 1994
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jeudi 21 juillet 2011
"Les contes de la nuit" de Michel Ocelot: la danse du tambour magique
Cinq très belles histoires, à l'africaine, et à la tibétaine animent ce film d'animation , le deuxième après "Kirikou" de Michel Ocelot.
Dans l'un deux, le héros réveille au son du tambour magique, le roi, jusqu'alors soigné par les grisgris du magicien gourou.Seule la danse qui ébranle son corps malade va le ressuciciter, ainsi que toute la tribu guerrière qui entame une danse chorale à la Wigman, en noir et blanc, très danse d'expression allemande passée à la lithographie sur bois!
Contraste des images cernées où les corps sont très "pantins" et marionnettes dignes d'un très beau théâtre d'ombre!
Dans l'un deux, le héros réveille au son du tambour magique, le roi, jusqu'alors soigné par les grisgris du magicien gourou.Seule la danse qui ébranle son corps malade va le ressuciciter, ainsi que toute la tribu guerrière qui entame une danse chorale à la Wigman, en noir et blanc, très danse d'expression allemande passée à la lithographie sur bois!
Contraste des images cernées où les corps sont très "pantins" et marionnettes dignes d'un très beau théâtre d'ombre!
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