mercredi 15 octobre 2014

"Eloge des femmes cépages": divines! Divin Albert Skrickler!

  • Éloge des femmes cépages.
    Un livre hommage… de saison et hors saison !
     
    Dessins originaux de Dan STEFFAN
    Textes d’Albert STRICKLER
    Admirablement préfacé par Simone MORGENTHALER, journaliste et écrivain.
     
    Femmes, je vous boie!
    Femmes, je vous aime, surtout en "crémant": mousseuses, légères, en effets de "bulles" vaporeuses, dansantes!: "elle vous fait tourner la tête, à se déhancher en hippocampe, comme un derviche tourneur"!
    C'est tout dire du rapport de la danse, à l'enivrement, à la divine boisson!
    Effervescence et feu d'artifice: on est dans le mouvement, la houle du vertige et du déséquilibre de l'amour des bonnes et belles choses!
    "Enivrez-vous"!
    Surtout et ne perdez pas pied (de vigne) dans cet ouvrage di-vin, où les divines font légende, et bachanales!
    Bachus veille au grain, de raisin!
    Si de nombreux poètes ont célébré la femme et si beaucoup ont chanté le vin, rares sont ceux qui les ont aussi intimement associés qu’Albert Strickler qui s’est plu à les confondre dans le même hommage en effeuillant allègrement la marguerite des cépages de sa région.
    En résulte un livre aussi sensuel qu’original rehaussé par les dessins originaux de Dan Steffan.
    Un livre bijou qui réjouira aussi bien les viticulteurs et les épicuriens que les amateurs d’art.
    Calligraphies en sus pour évoquer les contenus: la coupe, le verre, le calice!
    C'est christique à souhait et très religieux! Paien? Jamais!
     
    EN GUISE D’AMUSE-BOUCHE…
     
    Extrait de la préface :
     
    Lorsque à six ans, j’ai appris mes premiers mots de français, la phrase qui m’a touchée jusqu’à l’émerveillement est celle-ci : « la vigne fleurit ». Je la regardais, je la disais à voix basse, à voix haute, je la répétais jusqu’à l’enivrement. Je trouvais que ces mots contenaient de la joie, qu’ils étaient annonciateurs de printemps et de bienfaits. J’éprouve le même plaisir à parcourir ce livre, à le tenir, à m’arrêter aux mots, aux dessins, à la mise en page qui suit les courbes rondes de la femme et de la grappe.
     
    Extraits
     
    La femme Riesling
     
    Un vin de classe, de race, qui aurait la droiture de ton âme et la fermeté de tes fesses. Un vin de muscles et de nerfs aux accents mâles de violoncelle et au fruité aérien de clarinette. Un vin qui aurait à la fois en bouche le feu humide de ta langue et la brûlante fraîcheur d’une étoile.
     
    La femme Muscat
     
    La femme Muscat a la peau qui craque sous les dents quand on la croque. On peut la prendre autant qu’on veut, sa chair garde la fraîcheur virginale de la première fois…

Brahim Zaibat: "on peut tous un jour danser avec les stars": bien sûr!

Evident mon cher Watson!
À l’oc­ca­sion de la sortie de son livre « On peut tous danser avec les stars », Brahim Zaibat est revenu sur sa rela­tion avec Madonna.
Brahim Zaibat est certes connu pour être arrivé en finale de l’émis­sion Danse avec les stars, mais surtout, pour avoir partagé la vie d’une des célé­bri­tés les plus connues du monde entier : Madonna. Invité hier sur le plateau de C à vous, le danseur n’a pu éviter les ques­tions sur leur histoire d’amour, à laquelle il consacre un chapitre de son livre.
Il est d’abord revenu sur les circons­tances de leur « coup de foudre »« Un jour, on m’a appelé pour aller faire un show avec cette personne, et c’est comme ça qu’on s’est rencon­trés », s’est-il souvenu.
Brahim confie que loin des fantasmes de paillettes et de pyra­mides de cham­pagne au petit déjeu­ner, leur vie au quoti­dien était plutôt carré­ment plan plan.  « C’était une rela­tion comme toutes les rela­tions. On n’était pas en train de voler tous les jours ou je ne sais quoi… On était comme tout le monde à la maison et voilà. »
Le danseur explique combien il admi­rait l’éner­gie et la capa­cité de travail incroyables de sa compagne de l’époque : « C’est pour ça qu’on s’est bien entendu, parce que je suis dans le même concept de vie aussi. J’aime bien ne pas m’ar­rê­ter, c’est quelque chose qui m’a touché quand j’ai décou­vert ça. Et ça m’a donné encore plus l’en­vie de ne pas m’ar­rê­ter quand je vois où elle en est. »

"Tu n'iras pas danser" et "A l'école de danse": sympa!

Première lecture. Pour enfants dès 6 ans. Lucie ne rêve que de danser toute la journée. Mais son papa lui, ne veut pas ! Elle doit le faire changer d'avis.
Cette histoire amusera les enfants qui lisent tout seuls en mettant en scène une petite fille passionnée de danse. Comme les autres titres Premières lectures 2* de la collection Hatier Poche, elle comporte une intrigue découpée en chapitres pour pouvoir faire des pauses et rendre la lecture plus facile, à partir de 6 ans. Pour les élèves des classes de CP et de CE1.

Première lecture. Pour enfants dès 6 ans. Lucie rêve d'entrer à l'école de danse. Pour cela, elle doit passer une audition. Mais comment peut-elle être admise avec son trou entre les dents ?
Cette histoire amusera les enfants qui lisent tout seuls en mettant en scène une petite fille passionnée de danse. Comme les autres titres Premières lectures 2* de la collection Hatier Poche, elle comporte une intrigue découpée en chapitres pour pouvoir faire des pauses et rendre la lecture plus facile, à partir de 6 ans. Pour les élèves des classes de CP et de CE1.