lundi 24 novembre 2014

Marc Bauer: kinéphile....



Visuel cinéma
En écho à l’exposition de Marc Bauer, Cinerama, le Frac Alsace et le Maillon présentent une soirée ciné-concert unique ! Au programme : deux films portés par la musique live de Kafka, L’Architecte de Marc Bauer et La Petite Marchande d’allumettes de Jean Renoir, ainsi qu’une mini-rétrospective du répertoire de ce groupe rock progressif aux épopées psychédéliques.

Se taire d’abord, écouter. « Il faisait effroyablement froid ; il neigeait depuis le matin ; il faisait déjà sombre ; le soir approchait, le soir du dernier jour de l’année. » On entend presque le destin qui cogne, la mort qui vient. Indépassable. Commencement de La Petite Fille aux allumettes de Hans-Christian Andersen (1845). C’est de ce conte de misère et de lumière, d’une brièveté cinglante, que sont partis le groupe de rock Kafka pour concevoir leur projet de ciné-concert. Il en résulte la présentation de deux œuvres, le même soir l’une après l’autre :
La Petite Marchande d’allumettes
Libre interprétation du conte d’Andersen, le film muet réalisé par Jean Renoir en 1928 est d’une intensité proprement hallucinante, on y voit pour ainsi dire le cœur du peuple saigner. Une invitation à redécouvrir un classique du cinéma muet. 
Ce mardi 25 Novembre 20H 30 au Maillon Wacken

dimanche 23 novembre 2014

Lacroix illumine Cognac Jay! Pour des siècles, des siècles, Ariane!

Réouvert après embellissement, le musée Cognacq-Jay qui est entièrement dédié à l’art et aux œuvres du XVIIIe siècle a laissé carte blanche au styliste Christian Lacroix pour marquer les esprits avec l’exposition événement « Lumières ».
Renouant avec un genre qui lui colle à la peau, celui-ci a accepté le double défi de renouveler le « fil rouge » des ambiances de visite de l’exposition Lumières tout en travaillant sur une thématique chère à son approche artistique, le costume.
Théâtral, scénique ou encore comique, l’habit de lumière est ainsi auréolé par l’artiste-commissaire pour évoquer son goût pour les fastes du Siècle des Lumières.
 Du 19 novembre au 19 avril 2015.
8, rue Elzévir, 75003 Paris. Tél. : 01 40 27 07 21 
et www.cognacq-jay.paris.fr


Le couturier a signé la nouvelle scénographie du musée, fermé pour travaux depuis deux mois et demi.

Le musée Cognacq-Jay à Paris, consacré au 18ème siècle, a fait appel à Christian Lacroix pour sa réouverture ce mercredi 19 novembre. L’établissement, créé en 1928 à l’initiative du fondateur du grand magasin parisien la Samaritaine, Ernest Cognacq, n’avait pas modifié sa scénographie depuis son emménagement en 1990 à l’hôtel Donon, dans le quartier du Marais. Après une fermeture de deux mois et demi pour travaux, le musée s’offre une toute nouvelle décoration. Les tapis et couleurs des murs sont signés Christian Lacroix, qui avait déjà collaboré avec le musée Réattu d’Arles en 2012. Quant aux thématiques de ce nouveau parcours, elles reflètent les différents axes de la collection, orientés par les choix d’acquisition d’Ernest Cognacq et de Marie-Louise Jay, ainsi que les courants majeurs dans les arts du XVIIIe siècle.
Dans le cadre d’une « carte blanche », jusqu’au 19 avril, le couturier a réalisé des croisements entre les collections du musée et des photographies, textiles, pièces de design et installations de quarante artistes contemporains. Une sculpture flashy en résine aimantée de Bernard Quesniaux fait ainsi écho à des costumes d’Arlequin et Colombine du palais Galliera tandis que plus loin, dans une partie consacrée aux thèmes de l’enfance et de l’éducation, des statuettes en porcelaine de Meissen côtoient dans une vitrine une Barbie collector. A un portrait de 1776 de Louis Antoine de Bourbon, duc d’Angoulême, répond une scène contemporaine : une fillette soulevant son oreiller après le passage de « la petite souris », oeuvre de la photographe Véronique Ellena.
 
 
Moins de la moitié de la collection permanente du musée est exposée, en attendant la restauration de certaines oeuvres, notamment des tapisseries et du mobilier. Ce nouveau parcours de visite constitue la préfiguration thématique du nouvel accrochage, prévu pour mai 2015.

A Table! Geneviève et les garçons!

55 Minutes de cuisson pour le récital "La Sole Si Dorée" la sol si do ré ..
Aux casseroles (voix de casserole) Geneviève Charras et au piano (acqueux), le piano des grands chefs gastronomiques, Christian Vidal!

On va déguster sans modération, les petits gâteaux de Barbara, l'omelette à la folle Embuche, "la recette du cake d'amour" de Michel Legrand et la bonne cuisine de Bernstein!!!
Et plein de surprises dont le solo dansé "tournedos Rossini"!

c'est à la salle d'évolution du Portique à l'UDS Strasbourg
14 rue René Descartes esplanade strasbourg
MERCREDI 26 NOVEMBRE 18H

Faut pas, chut, faut pas! (air de la griserie Offenbach la péricole)
faux pas!!!! chute!!!!!!!

entrée, libre, plat ou dessert dans le chapeau melon (chapon melon)
l'addition, palron, s'il vous plait ou les pieds de porc panés, bien nés
sois gai, ris donc, matelote en deux services!!!!