Le Pape François est, aux dires de beaucoup, l'un des papes les plus cools depuis bien longtemps. Pourtant, il a réussi à se faire un ennemi, et pas n'importe qui : le vent.Dans certains de ses speechs et quelques apparitions en public, la sommité chrétienne est en proie à la fougue des conditions météorologiques. Des tempêtes viennent déranger Jorge Maria Bergoglio, de son vrai nom. Faut-il y voir une intervention divine ? Un complot des illuminati ? Une organisation de la communauté maçonnique ? Tout est possible dans ce monde de fou !Ou peut-être qu'il y a juste un peu de vent...
lundi 24 novembre 2014
Marc Bauer: kinéphile....

En
écho à l’exposition de Marc Bauer, Cinerama, le Frac Alsace et le
Maillon présentent une soirée ciné-concert unique ! Au programme : deux
films portés par la musique live de Kafka, L’Architecte de Marc Bauer et
La Petite Marchande d’allumettes de Jean Renoir, ainsi qu’une
mini-rétrospective du répertoire de ce groupe rock progressif aux
épopées psychédéliques.
Se taire d’abord, écouter. « Il faisait effroyablement froid ; il neigeait depuis le matin ; il faisait déjà sombre ; le soir approchait, le soir du dernier jour de l’année. » On entend presque le destin qui cogne, la mort qui vient. Indépassable. Commencement de La Petite Fille aux allumettes de Hans-Christian Andersen (1845). C’est de ce conte de misère et de lumière, d’une brièveté cinglante, que sont partis le groupe de rock Kafka pour concevoir leur projet de ciné-concert. Il en résulte la présentation de deux œuvres, le même soir l’une après l’autre :
La Petite Marchande d’allumettes
Libre interprétation du conte d’Andersen, le film muet réalisé par Jean Renoir en 1928 est d’une intensité proprement hallucinante, on y voit pour ainsi dire le cœur du peuple saigner. Une invitation à redécouvrir un classique du cinéma muet.
Se taire d’abord, écouter. « Il faisait effroyablement froid ; il neigeait depuis le matin ; il faisait déjà sombre ; le soir approchait, le soir du dernier jour de l’année. » On entend presque le destin qui cogne, la mort qui vient. Indépassable. Commencement de La Petite Fille aux allumettes de Hans-Christian Andersen (1845). C’est de ce conte de misère et de lumière, d’une brièveté cinglante, que sont partis le groupe de rock Kafka pour concevoir leur projet de ciné-concert. Il en résulte la présentation de deux œuvres, le même soir l’une après l’autre :
La Petite Marchande d’allumettes
Libre interprétation du conte d’Andersen, le film muet réalisé par Jean Renoir en 1928 est d’une intensité proprement hallucinante, on y voit pour ainsi dire le cœur du peuple saigner. Une invitation à redécouvrir un classique du cinéma muet.
Ce mardi 25 Novembre 20H 30 au Maillon Wacken
dimanche 23 novembre 2014
Lacroix illumine Cognac Jay! Pour des siècles, des siècles, Ariane!
Réouvert après embellissement, le musée Cognacq-Jay qui est
entièrement dédié à l’art et aux œuvres du XVIIIe siècle a laissé carte
blanche au styliste Christian Lacroix pour marquer les esprits avec
l’exposition événement « Lumières ».
Renouant avec un genre qui lui colle à la peau, celui-ci a accepté le double défi de renouveler le « fil rouge » des ambiances de visite de l’exposition Lumières tout en travaillant sur une thématique chère à son approche artistique, le costume.
Théâtral, scénique ou encore comique, l’habit de lumière est ainsi auréolé par l’artiste-commissaire pour évoquer son goût pour les fastes du Siècle des Lumières.
Du 19 novembre au 19 avril 2015.
8, rue Elzévir, 75003 Paris. Tél. : 01 40 27 07 21
et www.cognacq-jay.paris.fr
Renouant avec un genre qui lui colle à la peau, celui-ci a accepté le double défi de renouveler le « fil rouge » des ambiances de visite de l’exposition Lumières tout en travaillant sur une thématique chère à son approche artistique, le costume.
Théâtral, scénique ou encore comique, l’habit de lumière est ainsi auréolé par l’artiste-commissaire pour évoquer son goût pour les fastes du Siècle des Lumières.
Du 19 novembre au 19 avril 2015.
8, rue Elzévir, 75003 Paris. Tél. : 01 40 27 07 21
et www.cognacq-jay.paris.fr
Le couturier a signé la nouvelle scénographie du musée, fermé pour travaux depuis deux mois et demi.
Le musée Cognacq-Jay à Paris,
consacré au 18ème siècle, a fait appel à Christian Lacroix pour sa
réouverture ce mercredi 19 novembre. L’établissement, créé en 1928 à
l’initiative du fondateur du grand magasin parisien la Samaritaine,
Ernest Cognacq, n’avait pas modifié sa scénographie depuis son
emménagement en 1990 à l’hôtel Donon, dans le quartier du Marais. Après
une fermeture de deux mois et demi pour travaux, le musée s’offre une
toute nouvelle décoration. Les tapis et couleurs des murs sont signés
Christian Lacroix, qui avait déjà collaboré avec le musée Réattu d’Arles
en 2012. Quant aux thématiques de ce nouveau parcours, elles reflètent
les différents axes de la collection, orientés par les choix
d’acquisition d’Ernest Cognacq et de Marie-Louise Jay, ainsi que les
courants majeurs dans les arts du XVIIIe siècle.
Dans
le cadre d’une « carte blanche », jusqu’au 19 avril, le couturier a
réalisé des croisements entre les collections du musée et des
photographies, textiles, pièces de design et installations de quarante
artistes contemporains. Une sculpture flashy en résine aimantée de
Bernard Quesniaux fait ainsi écho à des costumes d’Arlequin et Colombine
du palais Galliera tandis que plus loin, dans une partie consacrée aux
thèmes de l’enfance et de l’éducation, des statuettes en porcelaine de
Meissen côtoient dans une vitrine une Barbie collector. A un portrait de
1776 de Louis Antoine de Bourbon, duc d’Angoulême, répond une scène
contemporaine : une fillette soulevant son oreiller après le passage de
« la petite souris », oeuvre de la photographe Véronique Ellena.
Moins
de la moitié de la collection permanente du musée est exposée, en
attendant la restauration de certaines oeuvres, notamment des
tapisseries et du mobilier. Ce nouveau parcours de visite constitue la
préfiguration thématique du nouvel accrochage, prévu pour mai 2015.
Inscription à :
Commentaires (Atom)














