Tout est filmé en plongée, à hauteur de chien et on tremble devant la cruauté humaine; on essaye aussi d'être sauveur comme cette enfant et son ami, le chien, liéS par une étrange osmose...Férocité, aveuglement, deux heures durant: c'est un chef-d'oeuvre qui travaille au corps: et si nous étions ces chiens là?
Tout est vide dans la cité aux premières images: vacuité avant la tempête qui va déferler sur une petite ville anonyme et sans histoire....Un abattoir en sera la cheville ouvrière, un chenil et ses règles strictes, d'abandon ou de mort et une salle de répétition de concert où le leitmotiv viendra encadrer et soutenir le drame.
Tout est vide dans la cité aux premières images: vacuité avant la tempête qui va déferler sur une petite ville anonyme et sans histoire....Un abattoir en sera la cheville ouvrière, un chenil et ses règles strictes, d'abandon ou de mort et une salle de répétition de concert où le leitmotiv viendra encadrer et soutenir le drame.
"God" et non "dog" ! Dommage, Chien blanc, ça sonnait bien aux oreilles. Et puis, ça collait avec l'histoire de ce long-métrage du hongrois Kornel Mundruczo (Johanna, Delta...), qui voit un chien baloté de maître en maître découvrir l'étendue de la cruauté humaine jusqu'à imaginer une révolte canine. Dieu blanc donc. Et tant pis si la bête est marron ! Célébré au dernier Festival de Cannes où il a raflé le Grand Prix dans la section Un Certain Regard, le film arrive précédé d'une jolie rumeur. D'où l'envie de grogner et de montrer les crocs devant cette bête un peu trop docile à notre goût. Si l'idée d'un film de genre qui sur le papier faisait espérer un improbable croisement entre Rox et Rouky (mais sans Rouky) et le Dressé pour tuer, de Sam Fuller (White dog, en V.O. d'ailleurs), était embalante, le résultat déçoit. Humaniser un chien à l'écran n'est pas chose aisée, Mundruczo essaie tant bien que mal. C'est long, très long, pas très passionnant, jusqu'au final qui laisse imaginer ce qu'aurait pu être le film s'il avait su se maintenir à ce niveau d'intensité dramatique et physique. Que la bête vive malgré tout.
Pour favoriser les chiens de race, le gouvernement inflige à la population une lourde taxe sur les bâtards. Leurs propriétaires s’en débarrassent, les refuges sont surpeuplés. Lili, 13 ans, adore son chien Hagen, mais son père l’abandonne dans la rue. Tandis que Lili le cherche dans toute la ville, Hagen, livré à lui-même, découvre la cruauté des hommes. Il rejoint une bande de chiens errants prêts à fomenter une révolte contre les hommes. Leur vengeance sera sans pitié. Lili est la seule à pouvoir arrêter cette guerre.
Pour favoriser les chiens de race, le gouvernement inflige à la population une lourde taxe sur les bâtards. Leurs propriétaires s’en débarrassent, les refuges sont surpeuplés. Lili, 13 ans, adore son chien Hagen, mais son père l’abandonne dans la rue. Tandis que Lili le cherche dans toute la ville, Hagen, livré à lui-même, découvre la cruauté des hommes. Il rejoint une bande de chiens errants prêts à fomenter une révolte contre les hommes. Leur vengeance sera sans pitié. Lili est la seule à pouvoir arrêter cette guerre.
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