Apollonia Échanges Artistiques Européens
Dernière
soirée OH! de la saison. Grandes largeurs et petites longueurs, cette
dernière soirée OH! de la saison joue avec les échelles et les musiciens
du Collectif OH! : Kalevi Uibo, Jean-René Mourot, Francesco Rees,
Pascal Beck, Michael Alizon, Christophe Imbs, Christophe Rieger, Phillip
Klawitter et Philippe Rieger
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Mini ? Maxi ? On s‘invente une règle du jeu avec ses propres projets et enchaîne les formules, avec un minimum de retenue et un maximum de bonheur. Du solo jusqu‘à ce grand ensemble très joueur qu‘est le Dream Weapon Orchestra. On passe ainsi en revue tout ce qui fait notre musique. Dans les diagonales comme en travers, pour petits et grands, pour oreilles mini et maxi gosiers. Pas de limite à la taille du plaisir.
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Jeudi 27 juin, à partir de 17h30
Espace Apollonia, 23 rue Boecklin
Oh, que ça fait du bien de voir, rassemblés au coeur de l'extra-ordinaire exposition de Philippe Jacq "En découdre, un collectif, amoureux de musique, facteur de bruits et de sons au diapason de cette initiative colorée, chamarrée, participative et émancipatrice. Dans le ton donc de l'environnement fertile de l'art de "tapissiers" du réel, passementiers de l'art immersif, voici nos auteurs-compositeurs et interprètes, réunis pour un "work in progress", un bord de plateau inédit où vont se succéder de courtes pièces, sortes de "nouvelles", abouties ou en chantier! A coup de crécelle, cet instrument de charivarieur de carnaval, trublion de la fête, les morceaux se succèdent, animés de bonhommie, de sérieux, de convivialité.
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Mini ? Maxi ? On s‘invente une règle du jeu avec ses propres projets et enchaîne les formules, avec un minimum de retenue et un maximum de bonheur. Du solo jusqu‘à ce grand ensemble très joueur qu‘est le Dream Weapon Orchestra. On passe ainsi en revue tout ce qui fait notre musique. Dans les diagonales comme en travers, pour petits et grands, pour oreilles mini et maxi gosiers. Pas de limite à la taille du plaisir.
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Jeudi 27 juin, à partir de 17h30
Espace Apollonia, 23 rue Boecklin
Oh, que ça fait du bien de voir, rassemblés au coeur de l'extra-ordinaire exposition de Philippe Jacq "En découdre, un collectif, amoureux de musique, facteur de bruits et de sons au diapason de cette initiative colorée, chamarrée, participative et émancipatrice. Dans le ton donc de l'environnement fertile de l'art de "tapissiers" du réel, passementiers de l'art immersif, voici nos auteurs-compositeurs et interprètes, réunis pour un "work in progress", un bord de plateau inédit où vont se succéder de courtes pièces, sortes de "nouvelles", abouties ou en chantier! A coup de crécelle, cet instrument de charivarieur de carnaval, trublion de la fête, les morceaux se succèdent, animés de bonhommie, de sérieux, de convivialité.
Ce ne sera pas une "parenthèse" dans le concert, voici l'ensemble du même nom qui ouvre le bal: le ton est donné: musique inventive, libre, "free" sans concession aux canons de la conformité musicale.C'est au tour de Jean René Mourot d'ouvrir la rubrique "soliste" avec deux solos de "piano", tendre ambiance ou fulgurance du touché pianistique. Les titres des morceaux à inventer: on choisira pour le troisième très ludique; "ludions"ou "manèges" ou "la foire st jean n'aura pas lieu"....Du bon, du beau qui augure de la suite de cet événement insolite. Partageux et en intimité avec le public, autour du plateau. "Frankenstein concerto" en rajoute, du bien pimenté, sauce électro-acoustique et à l'unisson, à l'écoute les uns des autres pour faire monter la mayonnaise. Les instruments exultent, le plaisir de jouer sourd des corps des musiciens, de leurs instruments sous les doigts et dans le souffle de chacun des interprètes galvanisés par cette ambiance de proximité. Notons la fausse modestie de Christophe Imbs qui se cherche au clavier alors qu'il joue savamment des "mélodies" impromptues qui se chevauchent; de l'humour et de la distanciation, pour une inspiration de blagues: celle de la girafe entre autre et la pièce au sujet du "dormeur au volant": des anecdotes piquantes et drôles pour alimenter son inspiration et son imagination fertile.
La soirée va bon train avec un entracte au jardin convivial, bordé de fragrances de menthe et mélisse citronnée: un "endroit" où il fait bon vivre et être "ensemble". Les tartes flambées en nourriture terrestres de bon aloi. On remet le couvert avec une belle prestation très "musicienne" des deux frères Rieger et leurs complices: musique chatoyante, électroacoustique pleine de bidouillages savants en compagnie du guitariste Kalevi Uibo, également maitre de cérémonie de ce "cabaret" free jazz décapant. On est ailleurs sur la planète de la création collective et ça fait résonance et contrecarre la morosité ou monotonie de certaines formations. Du cousu main ou sur mesure dans une jolie démesure pour cette soirée qui "pour en découdre" fait de la haute couture pour essayer et revêtir les plus beaux atours incongrus de la création free jazz et autres détours musicaux: laboratoire autant que marmite magique où chacun s'affaire à faire de son mieux dans des échappées belles: "étonnez- moi, Benoit", ils ont du souffle, du doigté et ce "piano" de cuisiniers à l'ouvrage est une belle plate forme de recettes de maitres queux: un bon moment, plus de trois heures de concert sans "relâche", tendu ou relax, à l'image d'une bonne surprise. "0h" les beaux jours qui n'a de cesse d'interroger la création sous "covid" ou non, fertile bassin de réception d'une tectonique musicale éruptive. Du "cratère", du caractère pour scories déferlantes autant que poétiques. Ce sera au "Dream Weapon Orchestra" de terminer ce festin en beauté après avoir chipé la place à "La Strizza" et à "Plaine", formations du cru à géométrie variable.
La soirée va bon train avec un entracte au jardin convivial, bordé de fragrances de menthe et mélisse citronnée: un "endroit" où il fait bon vivre et être "ensemble". Les tartes flambées en nourriture terrestres de bon aloi. On remet le couvert avec une belle prestation très "musicienne" des deux frères Rieger et leurs complices: musique chatoyante, électroacoustique pleine de bidouillages savants en compagnie du guitariste Kalevi Uibo, également maitre de cérémonie de ce "cabaret" free jazz décapant. On est ailleurs sur la planète de la création collective et ça fait résonance et contrecarre la morosité ou monotonie de certaines formations. Du cousu main ou sur mesure dans une jolie démesure pour cette soirée qui "pour en découdre" fait de la haute couture pour essayer et revêtir les plus beaux atours incongrus de la création free jazz et autres détours musicaux: laboratoire autant que marmite magique où chacun s'affaire à faire de son mieux dans des échappées belles: "étonnez- moi, Benoit", ils ont du souffle, du doigté et ce "piano" de cuisiniers à l'ouvrage est une belle plate forme de recettes de maitres queux: un bon moment, plus de trois heures de concert sans "relâche", tendu ou relax, à l'image d'une bonne surprise. "0h" les beaux jours qui n'a de cesse d'interroger la création sous "covid" ou non, fertile bassin de réception d'une tectonique musicale éruptive. Du "cratère", du caractère pour scories déferlantes autant que poétiques. Ce sera au "Dream Weapon Orchestra" de terminer ce festin en beauté après avoir chipé la place à "La Strizza" et à "Plaine", formations du cru à géométrie variable.
18h00 Parenthèses
18h15 Jean-René Mourot solo
18h30 Frankenstein’s Concerto
18h45 Christophe Imbs solo
19h00 Plaine
19h15 La Strizza
18h15 Jean-René Mourot solo
18h30 Frankenstein’s Concerto
18h45 Christophe Imbs solo
19h00 Plaine
19h15 La Strizza
19h 30 - pause de 30 minutes
20h00 Parenthèses
20h15 Jean-René Mourot solo
20h30 Frankenstein’s Concerto
20h45 Christophe Imbs solo
21h00 Plaine
21h15 La Strizza
21h30 Dream Weapon Orchestra
20h15 Jean-René Mourot solo
20h30 Frankenstein’s Concerto
20h45 Christophe Imbs solo
21h00 Plaine
21h15 La Strizza
21h30 Dream Weapon Orchestra
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