Dans un ghetto où se côtoient trafics et religion, Dounia a soif de pouvoir et de réussite. Soutenue par Maimouna, sa meilleure amie, elle décide de suivre les traces de Rebecca, une dealeuse respectée. Sa rencontre avec Djigui, un jeune danseur troublant de sensualité, va bouleverser son quotidien.
Un film de où la danse est très présente: c'est du haut des cintres d'un théâtre en regardant des répétitions de danse que l'héroine comprendra et l'amour et la danse; elle filme en cachette sur son téléphone, en plongée, les belles évolutions d'un danseur contemporain rebelle, surveillant de supermarché.
Et c'est là qu'il va la prendre, lui apprendre à danser: attirance, répulsion, tension, détente tout y est à travers le langage du chorégraphe, Nicolas Paul
"La danse ne ment pas, c'est sacré" lui glisse -t-il à l'oreille lors d'une très belle séquence, échange des corps dansant, caméra tourbillonnante! Caméra d'or!
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