Comme le titre de ce livre le suggère, avec Hervé Koubi, la communauté règne, contre toute idée de communautarisme. Selon ses mots, « danser n’a de sens qu’ensemble ».
De mère musulmane, de père juif, Hervé Koubi confesse à son public, avant chaque représentation, que ses danseurs « sont (ses) frères ».
Ce rite de présentation se voit confirmé par les enjeux de ses pièces : la gestuelle, tant de Ce que le jour doit à la nuit que des Nuits barbares ou les premiers matins du monde, célèbre l’avènement de la paix, de l’éros, par-delà les guerres qui cimentent le monde méditerranéen, et, in fine, la terre.
Au-delà de la présentation et de l’analyse de ses principales pièces, ce livre rassemble un portrait et un entretien avec Hervé Koubi, ainsi que de nombreux témoignages.
De mère musulmane, de père juif, Hervé Koubi confesse à son public, avant chaque représentation, que ses danseurs « sont (ses) frères ».
Ce rite de présentation se voit confirmé par les enjeux de ses pièces : la gestuelle, tant de Ce que le jour doit à la nuit que des Nuits barbares ou les premiers matins du monde, célèbre l’avènement de la paix, de l’éros, par-delà les guerres qui cimentent le monde méditerranéen, et, in fine, la terre.
Au-delà de la présentation et de l’analyse de ses principales pièces, ce livre rassemble un portrait et un entretien avec Hervé Koubi, ainsi que de nombreux témoignages.
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