mardi 20 mai 2014

"The Homesman":la folie des corps, l'ivresse de la sincérité!



Le western de Tommy Lee Jones, avec lui-même, Hilary Swank, et Meryl Streep est une révélation sur les aptitudes du cinéaste à filmer les corps: rigides et crâneurs, délirants et atteints de mutisme et de folie douloureuse:tout un panel de personnages campés à merveille dans des décors vastes et infinis.
Le filmde Tommy Lee Jones  avec
La dernière séquence où notre héros, son pari tenu et sa mission accomplie, danse sur le bac qui le ramène de l'Iowa au Nébrraska, clot l'intrigue.
Des images fuient, lumineuses : il danse, joue, jubile, chante et la musique s'empare du rythme!
Belle conclusion, épilogue mouvementé, apaisant où la danse le réconcilie avec lui-même dans une justesse et une grande sincérité!



A califourchon sur son cheval, une corde autour du cou, George Briggs, un vagabond, est sur le point de mourir pendu. C'est alors que Mary Bee Cuddy, une femme célibataire d'une trentaine d'années, lui propose un marché : elle le libère s'il lui rend ensuite service. Il devra l'aider à emmener trois femmes, devenues folles et dont les maris ne peuvent s'occuper, vers l'Iowa où elles seront soignées. George Briggs est bien obligé d'accepter ce contrat. Les voila donc embarqués pour cinq semaines de voyage. Une odyssée semée d'embûches car un tel convoi de femmes attirent des hommes mal intentionnés, tels des cow boys hors la loi et des indiens.

mmensité des espaces, cette terre asséchée à perte de vue, le soleil ocre et rasant quand tombe le soir: Tommy Lee Jones filme magnifiquement l'Ouest américain. Avec un souffle et un classicisme qu'aurait apprécié John Ford. Mary Bee (Hilary Swank), pionnière qui en a dans le pantalon, doit affronter ce désert aride et sauvage.
À ses côtés, George (Lee Jones himself), un rustre vagabond qu'elle vient de sauver d'une pendaison. Tous deux vont du Nebraska à l'Iowa, trimballant dans leur prison roulante trois femmes ayant perdu la boule. Bizarrement, quasi pas de friction entre elles, alors que vu leur rage et leur état mental elles auraient dû s'étriper.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/the-homesman-un-western-sans-surprise-mais-superbement-realise_1544538.html#p6vQDs02GBZp5CbP.99
L'immensité des espaces, cette terre asséchée à perte de vue, le soleil ocre et rasant quand tombe le soir: Tommy Lee Jones filme magnifiquement l'Ouest américain. Avec un souffle et un classicisme qu'aurait apprécié John Ford. Mary Bee (Hilary Swank), pionnière qui en a dans le pantalon, doit affronter ce désert aride et sauvage.
À ses côtés, George (Lee Jones himself), un rustre vagabond qu'elle vient de sauver d'une pendaison. Tous deux vont du Nebraska à l'Iowa, trimballant dans leur prison roulante trois femmes ayant perdu la boule. Bizarrement, quasi pas de friction entre elles, alors que vu leur rage et leur état mental elles auraient dû s'étriper.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/the-homesman-un-western-sans-surprise-mais-superbement-realise_1544538.html#p6vQDs02GBZp5CbP.99

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