mercredi 3 décembre 2014

"Your ghost is not enough": Kubilai Khan spectral!

Les nombreuses créations de Kubilai Khan Investigations ont forgé sa réputation. Puisant au creuset des cultures multiples, riche de ses affinités avec les musiques actuelles, la compagnie met en scène un présent électrique porté par des danseurs et des musiciens fulgurants. « L’arbre ne se baigne jamais deux fois dans le même vent », nous souffle le chorégraphe de « Your Ghost is not enough », Frank Micheletti. Une pièce qui tient du poème et offre aux gestes tout l’espace où se déployer. La danse s’y découvre, tel un animal aux aguets, fébrile, intense et fragile, à la lisière du péril, frisant l’excès de sa propre démesure.

« Il est nécessaire de se rêver » murmure encore le chorégraphe, au plus proche des tensions et des flux de la partition. Les différents artistes de ce projet, dont un danseur mozambicain, un musicien inventeur d’objets sonores, une mystérieuse dessinatrice, cherchent dans les écarts, les césures, les entre deux, ces formes de vie rétives qui font la force du langage. Ensemble ils cherchent encore au-delà, « un corps qui vient de sa nuit, un corps revenant, un corps débordé ». Le point aveugle de nos humanités ? Jusqu’à retrouver cette intense sensation de liberté qui caractérise les pièces de la compagnie

France - 2 danseurs et 2 musiciens
Les nombreuses créations de Kubilai Khan investigation ont forgé sa réputation. Puisant au creuset des cultures multiples, riche de ses affinités avec les musiques actuelles, la compagnie met en scène un présent électrique porté par des danseurs et des musiciens fulgurants. 
« L’arbre ne se baigne jamais deux fois dans le même vent », nous souffle le chorégraphe de « Your Ghost is not enough, Frank Micheletti. Une pièce qui tient du poème et offre aux gestes tout l’espace où se déployer. La danse s’y découvre, tel un animal aux aguets, fébrile, intense et fragile, à la lisière du péril, frisant l’excès de sa propre démesure.
« Il est nécessaire de se rêver » murmure encore le chorégraphe, au plus proche des tensions et des flux de la partition. Les différents artistes de ce projet, dont un danseur mozambicain, un musicien inventeur d’objets sonores, une mystérieuse dessinatrice, cherchent dans les écarts, les césures, les entre deux, ces formes de vie rétives qui font la force du langage. Ensemble ils cherchent encore au-delà, « un corps qui vient de sa nuit, un corps revenant, un corps débordé ». Le point aveugle de nos humanités ? Jusqu’à retrouver cette intense sensation de liberté qui caractérise les pièces de la compagnie._IF
 A Pôle Sud Strasbourg les 9 et 10 Décembre 20H 30
www.pole-sud.fr

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