Coproduction POLE-SUD
Ce spectacle bénéficie du soutien de l'ONDA
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Tournée territoriale présentée avec la Maison des Arts de Lingolsheim et la MAC, relais culturel de Bischwiller :
- Mercredi 24 + Jeudi 25 avril à la Maison des Arts de Lingolsheim
- Vendredi 03 Mai à la MAC, relais culturel de Bischwiller
Trait d’union
"Un fascinant travail de courbes et d’éclairs se déploie sur scène. Il réfléchit, au fil de ses mystérieux tracés, toute une poétique du mouvement et de l’écriture saisie entre apparition et disparition. Tel se dévoile Trait d’union, surprenant duo entre la danse de Sarah Cerneaux, tonique, intense et ciselée, et la spontanéité des gestes précis et incisifs de Julien Breton, le designer lumière composant sur scène ses calligraphies lumineuses. Une rencontre explosive selon Amala Dianor. "
Des arabesques tracées sur une toile transparente, une silhouette dissimulée derrière ce rideau transparent tendu en bord de scène, pour préambule . Comme un coup de pinceau magique, en direct ou faux semblant, la danse se transmet à une femme, de noir et blanc vêtue, lui tout en noir: il retranscrit ses gestes, la seconde, la copie ou la guide. Elle "traduit" son écriture graphique, retranscrit en d'autres formes, l'énergie de cette "plume" virtuelle, surdimensionnée pour la rendre de chair et de sensibilité.
En miroir parfois ils se répondent , elle dans de belles cambrures arrières, travaillant son corps dans le bas,elle, sa muse, lui son Pygmalion qui l'observe, la traque, la conduit Intrusif dans l'espace de cette femme indépendante, modèle d'un peintre abstrait, calligraphe de l'énergie. Elle s’émancipe au sol, le fuit, se dérobe à son profit pour échapper à cette dictature graphique et spatiale. Le pinceau électronique et lumineux fait leurre: on se prend à l'illusion du live, alors que les images tracées préexistantes surgissent sur l'écran et impactent le temps de la danse. Poursuite et traque entre les deux protagonistes qui s'évitent ou se rejoignent . Telle une luciole en rémanence, le geste du peintre ou photographe, traduit l'énergie du mouvement, lle magnifie, l'immortalise, lui fait une trace, des signes. Signature, de la griffe du manipulateur de cette matraque lumineuse en empreinte. Elle, dans un beau solo, laisse sa trace, charpentée, sensuelle, fugitive et très structurée. Page blanche, la toile translucide laisse s'échapper arabesques et alphabet , le temps de la danse: magie ou illusion, leurre d'une vision synchrone entre le vrai et le faux.
Des arabesques tracées sur une toile transparente, une silhouette dissimulée derrière ce rideau transparent tendu en bord de scène, pour préambule . Comme un coup de pinceau magique, en direct ou faux semblant, la danse se transmet à une femme, de noir et blanc vêtue, lui tout en noir: il retranscrit ses gestes, la seconde, la copie ou la guide. Elle "traduit" son écriture graphique, retranscrit en d'autres formes, l'énergie de cette "plume" virtuelle, surdimensionnée pour la rendre de chair et de sensibilité.
En miroir parfois ils se répondent , elle dans de belles cambrures arrières, travaillant son corps dans le bas,elle, sa muse, lui son Pygmalion qui l'observe, la traque, la conduit Intrusif dans l'espace de cette femme indépendante, modèle d'un peintre abstrait, calligraphe de l'énergie. Elle s’émancipe au sol, le fuit, se dérobe à son profit pour échapper à cette dictature graphique et spatiale. Le pinceau électronique et lumineux fait leurre: on se prend à l'illusion du live, alors que les images tracées préexistantes surgissent sur l'écran et impactent le temps de la danse. Poursuite et traque entre les deux protagonistes qui s'évitent ou se rejoignent . Telle une luciole en rémanence, le geste du peintre ou photographe, traduit l'énergie du mouvement, lle magnifie, l'immortalise, lui fait une trace, des signes. Signature, de la griffe du manipulateur de cette matraque lumineuse en empreinte. Elle, dans un beau solo, laisse sa trace, charpentée, sensuelle, fugitive et très structurée. Page blanche, la toile translucide laisse s'échapper arabesques et alphabet , le temps de la danse: magie ou illusion, leurre d'une vision synchrone entre le vrai et le faux.
"Le temps du corps et le mouvement en partage sont les éléments fondateurs de Pas seulement. Une pièce spécialement imaginée pour un quatuor de danseurs que le chorégraphe a rencontré dans la région Grand Est. S’écarter des techniques reconnues du hip-hop, amener chacun sur un terrain inconnu tel était l’objectif d’Amala Dianor. Abstraite et enlevée, cette partition fait la part belle au mouvement dansé, à la singularité comme aux savoirs de chacun, éléments que le chorégraphe a d’emblée intégré à l’écriture de cette autre façon de danser. "
Quatre danseurs sillonnent le plateau dans le silence, cherche sa place, dans la mêlée, la meute. De beaux déhanchements les unissent, chaloupes et mouvements d'ensemble au diapason. Parfois un corps entravé, empêché, contrarié fait contraste et diversion. A chacun son solo virtuose, des mouvements électriques et saccadés tenus au corps, torsions tétaniques pour l'un, solo étrange, joyeux et séducteur pour l'autre. Chacun joue de son corps et l'expose aux autres , quatuor, trèfle où chaque feuille est indissociable, unique mais fait chorus; on se laisse gentillement séduire dans cette cour de récréation où vibre aisance et réjouissance de cette "compagnie" où le hip-hop refait sa place allègrement
Amala Dianor signe ici deux pièces aux accents très différents, objets d'une soirée agréable passée en bonne "compagnie"!
A Pole Sud les 29 et 30 Avril
Quatre danseurs sillonnent le plateau dans le silence, cherche sa place, dans la mêlée, la meute. De beaux déhanchements les unissent, chaloupes et mouvements d'ensemble au diapason. Parfois un corps entravé, empêché, contrarié fait contraste et diversion. A chacun son solo virtuose, des mouvements électriques et saccadés tenus au corps, torsions tétaniques pour l'un, solo étrange, joyeux et séducteur pour l'autre. Chacun joue de son corps et l'expose aux autres , quatuor, trèfle où chaque feuille est indissociable, unique mais fait chorus; on se laisse gentillement séduire dans cette cour de récréation où vibre aisance et réjouissance de cette "compagnie" où le hip-hop refait sa place allègrement
Amala Dianor signe ici deux pièces aux accents très différents, objets d'une soirée agréable passée en bonne "compagnie"!
A Pole Sud les 29 et 30 Avril