Après avoir constitué une archive chorégraphique des gestes à venir, il s'intéresse à l’enregistrement du mouvement... Et ce en compagnie de cinq danseurs de l'Opéra de Paris qui se prennent au jeu de la capture de mouvements, de la construction en direct d'architecture qui symbolisent les déplacements, évolutions et parcours de personnes dans leur environnement familier.
Ensemble, ils définissent un paysage de données en tout genre, obtenues suivant des protocoles de fabrication singuliers. Au fond, tout geste enregistré, qu'il s’agisse de se frotter le front, d'un vol à la tire ou d'un simple regard, peut ainsi devenir une oeuvre d'art.
Au centre Pompidou jusqu'en février 2016
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