Pour STATIC SHOT, j’imagine un dispositif scénique bien spécifique, entre pièce chorégraphique, installation scénique et dispositif cinématographique, la pièce se montre tel un plan fixe ou plan séquence, un huis clos ou encore un cadre fixe dans lequel la « caméra », ici le mouvement et le regard, ne s’arrêtent jamais. Un voyage immobile en quelque sorte. La plasticité des images, la représentation des corps mais aussi l’énergie et les flux seront constitutifs de cette scène dont la danse, d’une extrême précision et d’une haute intensité, ne quitte jamais son apogée. Les nuances, allant du mezzo forte au fortississimo, feront de cette pièce un crescendo permanent, invitant les spectateurs à participer à une extase sans fin.
vendredi 20 décembre 2019
Maud Le Pladec, chorégraphe de "Notre Dame" de Valérie Donzelli !
Pour STATIC SHOT, j’imagine un dispositif scénique bien spécifique, entre pièce chorégraphique, installation scénique et dispositif cinématographique, la pièce se montre tel un plan fixe ou plan séquence, un huis clos ou encore un cadre fixe dans lequel la « caméra », ici le mouvement et le regard, ne s’arrêtent jamais. Un voyage immobile en quelque sorte. La plasticité des images, la représentation des corps mais aussi l’énergie et les flux seront constitutifs de cette scène dont la danse, d’une extrême précision et d’une haute intensité, ne quitte jamais son apogée. Les nuances, allant du mezzo forte au fortississimo, feront de cette pièce un crescendo permanent, invitant les spectateurs à participer à une extase sans fin.
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