Une BD de Campi et Zabus à voir d'un oeil chorégraphique!
Une ville, une rue, deux immeubles qui se font face et quelques personnages comme on en croise tous les jours. Ils sont emportés par leur vie, de la maison au bureau, de la crèche au cimetière. Parmi ces gens, certains fonctionnent moins bien que d'autres. Des petites gens. Ils sont là mais on ne les voit pas. La seule chose qui importe, c'est qu'ils fassent ce qu‘on attend d'eux : travailler puis mourir sans bruit. Mais parmi ces petites gens, quelques-uns ont l'air d'encore aimer la vie. Ils l'aiment assez pour essayer de lui donner un sens, d'y trouver le bonheur. On dirait des révolutionnaires. Silencieux et pacifiques.
Il y a par exemple ce petit fonctionnaire des chemins de fer, préposé aux objets trouvés. Ce qui l'éveille la nuit, c'est le sourire de son vieux collègue ! Comment un type qui a une vie aussi banale, aussi ennuyeuse que la sienne peut-il afficher perpétuellement un sourire de bonheur ? Une question qui trouvera une réponse qui pourrait bien tout changer.
Il y a aussi cette technicienne de surface à la passion bien étrange, cette vieille danseuse qui, même à la retraite, perpétue la magie du spectacle.Et la danse bien sûr (page49), le théâtre (page 28 / 29 / 30)
Et ce père qui ne sait plus comment vivre avec son fils depuis que sa femme est morte ?
Leur voisin, un vieil original qui donne ses livres comme autant de caresses, de remèdes, tentera de briser le grand silence qui s'est établi entre eux.
Les petites gens ont des petites vies, si petites qu'on devrait les oublier, mais c'est pourtant elles que l'on va vous raconter.
Une ville, une rue, deux immeubles qui se font face et quelques personnages comme on en croise tous les jours. Ils sont emportés par leur vie, de la maison au bureau, de la crèche au cimetière. Parmi ces gens, certains fonctionnent moins bien que d'autres. Des petites gens. Ils sont là mais on ne les voit pas. La seule chose qui importe, c'est qu'ils fassent ce qu‘on attend d'eux : travailler puis mourir sans bruit. Mais parmi ces petites gens, quelques-uns ont l'air d'encore aimer la vie. Ils l'aiment assez pour essayer de lui donner un sens, d'y trouver le bonheur. On dirait des révolutionnaires. Silencieux et pacifiques.
Il y a par exemple ce petit fonctionnaire des chemins de fer, préposé aux objets trouvés. Ce qui l'éveille la nuit, c'est le sourire de son vieux collègue ! Comment un type qui a une vie aussi banale, aussi ennuyeuse que la sienne peut-il afficher perpétuellement un sourire de bonheur ? Une question qui trouvera une réponse qui pourrait bien tout changer.
Il y a aussi cette technicienne de surface à la passion bien étrange, cette vieille danseuse qui, même à la retraite, perpétue la magie du spectacle.Et la danse bien sûr (page49), le théâtre (page 28 / 29 / 30)
Et ce père qui ne sait plus comment vivre avec son fils depuis que sa femme est morte ?
Leur voisin, un vieil original qui donne ses livres comme autant de caresses, de remèdes, tentera de briser le grand silence qui s'est établi entre eux.
Les petites gens ont des petites vies, si petites qu'on devrait les oublier, mais c'est pourtant elles que l'on va vous raconter.
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