Ils s’y croisent, ne semblent pas vraiment s’y rencontrer et pourtant ne sont jamais vraiment seuls. D’ailleurs, Yvann Alexandre s’abandonne très peu à l’exercice – pourtant fréquent dans le monde de la danse contemporaine – du solo. Or, en 2015, avec Les Soli noirs, ce chorégraphe au ton singulier aborde cette forme du solo, et même par cinq fois dans une œuvre qui est à la fois le résumé de ses obsessions autant qu’une ouverture vers des horizons nouveaux.
C’est l’occasion d’interroger ce que signifie cette solitude singulière d’un chorégraphe en demandant à l’écrivain Stéphane Bouquet, au plasticien Olivier de Sagazan et à plusieurs personnalités du monde de la danse d’aujourd’hui de s’y pencher.
Collection L’Univers d’un chorégraphe
S’appuyer sur une pièce d’un chorégraphe pour mieux cerner les questions et les
références de ces artistes qui parlent peu de leur univers. Croiser les regards et les
écritures, en mêlant des critiques de danse et des auteurs. Apporter aussi un point de
vue graphique. Constituer une base de données de référence : listes des oeuvres, des
collaborateurs… Tels sont les objectifs de cette collection, dirigée par le critique de
danse et journaliste Philippe Verrièle, pour une autre façon de parler de la danse.
S’appuyer sur une pièce d’un chorégraphe pour mieux cerner les questions et les
références de ces artistes qui parlent peu de leur univers. Croiser les regards et les
écritures, en mêlant des critiques de danse et des auteurs. Apporter aussi un point de
vue graphique. Constituer une base de données de référence : listes des oeuvres, des
collaborateurs… Tels sont les objectifs de cette collection, dirigée par le critique de
danse et journaliste Philippe Verrièle, pour une autre façon de parler de la danse.
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